62% des personnes inscrites sur des réseaux sociaux se disent soucieuse des données personnels qu'ils publient. C'est ce que révèle une étude mené par la société emedia, société spécialisé dans les enquêtes sur internet. L'étude montre aussi qu'un tiers des utilisateurs ( 31%) entrent de fausses informations sur ces réseaux.
Pour les internautes comme pour les utilisateurs il est important de comprendre les enjeux de tels réseaux, dont les informations sont rendu public et consultable par toute personne curieuse d'en connaître d'avantage à votre sujet! rappelons aussi que les internautes seraient de plus en plus vulnérables sur le net! En fait l'étude à été basé sur un échantillon de 100 internautes qui ont reçut un courriel les dirigeants vers un sondage. La technique employé par emedia est appelé Rapidsearch.
On peut s'attarder quelque peux sur ce point, car il est important de souligné que l'étude à bien été publié en ligne et que l'échantillon est représentatif d'une population homogène. Impossible donc pour Emedia de vérifier la sincérité de ses sondé ni la pertinence des informations qui lui sont parvenue en retour. Et à l'échelle du web, un échantillon de 100 personne ne peut pas constituer un échantillon représentatif.
Bref, le problème posé par cette étude, s'il en est un, c'est que les Myspaces et autres Facebook ont une incroyable capacité à transformer les informations des 150 millions d'utilisateurs en sources de revenus, mais qu'ils ne peuvent pas en vérifier la pertinence des informations ou la sincérité des utilisateurs. il sera donc un peu moins facile pour eux de dégager de l'argent avec ces informations.
Pour les internautes comme pour les utilisateurs il est important de comprendre les enjeux de tels réseaux, dont les informations sont rendu public et consultable par toute personne curieuse d'en connaître d'avantage à votre sujet! rappelons aussi que les internautes seraient de plus en plus vulnérables sur le net! En fait l'étude à été basé sur un échantillon de 100 internautes qui ont reçut un courriel les dirigeants vers un sondage. La technique employé par emedia est appelé Rapidsearch.
On peut s'attarder quelque peux sur ce point, car il est important de souligné que l'étude à bien été publié en ligne et que l'échantillon est représentatif d'une population homogène. Impossible donc pour Emedia de vérifier la sincérité de ses sondé ni la pertinence des informations qui lui sont parvenue en retour. Et à l'échelle du web, un échantillon de 100 personne ne peut pas constituer un échantillon représentatif.
Bref, le problème posé par cette étude, s'il en est un, c'est que les Myspaces et autres Facebook ont une incroyable capacité à transformer les informations des 150 millions d'utilisateurs en sources de revenus, mais qu'ils ne peuvent pas en vérifier la pertinence des informations ou la sincérité des utilisateurs. il sera donc un peu moins facile pour eux de dégager de l'argent avec ces informations.
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